Le COSEPAC, c’est le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada.
Les membres du COSEPAC se réunissent à chaque année pour établir la liste des espèces considérées comme en danger ou en voie d’extinction. Depuis le début de ses activités, en 1978, le COSEPAC a recensé 552 espèces en péril vivant au Canada. Celles-ci sont divisées en différentes catégories : en danger (222), menacées (139), en situation préoccupante (156), disparues du Canada (22) ou éteintes (13).
Exemples d’espèces en danger : Le Martinet Ramoneur, l’Engoulevent d’Amérique, le bécasseau maubèche, le requin pèlerin, le faucon pèlerin. Les pèlerins en général sont d’ailleurs en grand danger de disparition…
Parmi les espèces récemment éteintes, mentionnons le Boisclair à Palettes, une espèce qui a lutté désespérément pour obtenir sa rémission au moins jusqu’à l’automne 2008, mais qui vient de subir les rigueurs d’un environnement particulièrement malsain. Il faut dire que le Boisclair à Palettes n’a pas aidé à la survie de son espèce par des pratiques sexuelles ne favorisant pas l’assurance d’une descendance nombreuse, d’autant plus qu’il aurait mit le museau dans le passé dans des substances poudreuses indignes de son statut déjà précaire.
Le COSEPAC recense aussi quelques espèces nuisibles qui ne sont malheureusement pas encore disparues et qui ont la couenne dure.
Citons comme exemple d’espèces à faire disparaître au plus sacrant : le Martineau pigiste mais néanmoins scab. Le Martineau pigiste mais néanmoins scab est un triste oiselet démagogue, raciste et populiste qui sévit dans le Journal de Montréal, dans Info Presse, au 98,5FM, dans la prestigieuse revue de poupounes « Elle Québec », à Télé-Québec où il co-anime l’émission « Les Francs Masseurs », ainsi que dans le Journal de Québec et ce malgré le lock out qui ébranle cette institution médiocrative de la vieille capiteuse. Le qualificatif de pigiste est ajouté au Martineau scabiste parce qu’il pige ses idées le plus souvent de surface mais aussi parfois très creuses, un peu partout sur l’auto déroute de l’information et auprès de ses concubines qui sont toujours issues d’un média quelconque. C’est surtout à Outremont et sur le Plateau Mont-Royal que le Martineau pigiste mais néanmoins scab fait son nid et qu’il vit « intellectuellement au-dessus de ses moyens ».
Une autre espèce particulièrement nuisible a aussi été recensée par le COSEPAC, Les Dion d’Amérique. Les Dion d’Amérique vivent souvent en familles et sont réputés pour leur chant chromatique et douloureux pour l’oreille humaine qui semble sortir de leurs orifices nasaux proéminents. Les Dion d’Amérique étaient autrefois nombreux en banlieue nord-est de Montréal, mais heureusement, quelques-uns de leurs pires congénères ont émigré dans les déserts de l’ouest des états munis, des terres stériles où le soleil se fait cirque et détruit toute créativité. Les Dion d’Amérique femelle ont tendance à s’accoupler en très bas âge avec de vieux volatiles déplumés, ce qui normalement ne devrait pas permettre à la race de se développer très longtemps. Cependant, l’esprit de survie des Dion d’Amérique semble avoir réussi à compenser ces mœurs sexuelles dégénératives en cultivant et en conservant au frais le sperme de leurs vieux mâles pour consommation future en cas d’impuissance sénile anticipée. Une des branches particulièrement néfastes et virulentes de cette volaille disgracieuse sévit aussi en politique fédéraste, mais tout indique que cette branche va bientôt cesser de se reproduire et se noyer dans un trou d’eau désaffecté. Il faut également noter dans la famille des Dion d’Amérique quelques autres phénomènes détestables, notamment une version obèse nourrie aux beignets transgéniques qui fait de l’humour de pacotille dans des galas juste pourris.
Le COSEPAC est toujours à l’affût des espèces canadiennes en danger ou dangereuses. Vous pouvez participer à l’élaboration des données du COSEPAC en nous contactant au https://www.lecouac.org
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